Don’t wish too hard
4 élèves… Ca devient démotivant à force. C’est énervant de devoir se faire une raison, mon cours avancé du mardi soir tournera toujours entre 4 et 6 élèves. En soit ce n’est pas dramatique, l’école ne perd pas d’argent et c’est mieux que ce que j’osais espérer en fin d’année 2006. Mais c’est tellement enthousiasmant d’avoir plus d’élèves, tellement moins fatigant aussi. Quand il y en a 10 dans la salle comme le jeudi, ils apportent toute l’énergie et moi j’ai qu’à montrer les échauffements et enchaînements avec un peu de peps, et hop, ça roule.
Le mardi soir je me traîne… Le cours semble interminable. Ce qui m’énerve le plus dans l’histoire c’est que d’un point de vue purement technique et chorégraphique, c’est le cours qui m’intéresse le plus. L’intitulé dit "advanced". Et en fait je ne prends presque plus de plaisir à donner ce cours. J’ai beau changer les musiques régulièrement pour ne pas tomber dans une routine ennuyeuse, j’ai beau faire mon show, rajouter une partie freestyle à la fin de certains exercices, ça rame. Il faut que je dépense une énergie folle rien que pour animer 2-3 minutes… Les filles qui viennent semblent aimer le cours, elles reviennent la plupart du temps, pas régulièrement certes, mais elles reviennent. C’est donc pas catastrophique, c’est juste CREUVANT…
Je ne sais plus quoi faire pour essayer d’amener plus de monde dans ce cours. Le contemporain n’est pas à la mode en Nouvelle Zélande, le niveau de danse est très bas, alors trouver des gens de bon niveau qui aiment le contemporain, c’est quasi Mission: Impossible. Je ne vais pas baisser le niveau du cours, ce serait dommage pour les quelques filles qui se débrouillent bien, et puis je ne suis pas trop pour la politique du nivellement par le bas. Je ne peux pas non plus recruter dans mon cours débutant, les deux meilleures du cours viennent déjà au cours avancé. Marianna qui veut reprendre mes cours après une pause de 2 mois, m’a demandé aujourd’hui si elle arriverait à suivre, j’étais à 2 doigts de lui dire oui (alors qu’elle n’a pas le niveau) rien que pour avoir plus d’élèves dans ce cours. J’espère que le petit stage organisé dans 2 semaines me ramènera un peu de monde, et que ce monde n’ira pas gonflé le nombre du jeudi au lieu du mardi, comme ça a été le cas avec la journée porte ouverte. Enfin, je ne me fais pas trop d’illusion non plus, comme le dit si bien Hugh, Don’t wish too hard.
Le mardi soir je me traîne… Le cours semble interminable. Ce qui m’énerve le plus dans l’histoire c’est que d’un point de vue purement technique et chorégraphique, c’est le cours qui m’intéresse le plus. L’intitulé dit "advanced". Et en fait je ne prends presque plus de plaisir à donner ce cours. J’ai beau changer les musiques régulièrement pour ne pas tomber dans une routine ennuyeuse, j’ai beau faire mon show, rajouter une partie freestyle à la fin de certains exercices, ça rame. Il faut que je dépense une énergie folle rien que pour animer 2-3 minutes… Les filles qui viennent semblent aimer le cours, elles reviennent la plupart du temps, pas régulièrement certes, mais elles reviennent. C’est donc pas catastrophique, c’est juste CREUVANT…
Je ne sais plus quoi faire pour essayer d’amener plus de monde dans ce cours. Le contemporain n’est pas à la mode en Nouvelle Zélande, le niveau de danse est très bas, alors trouver des gens de bon niveau qui aiment le contemporain, c’est quasi Mission: Impossible. Je ne vais pas baisser le niveau du cours, ce serait dommage pour les quelques filles qui se débrouillent bien, et puis je ne suis pas trop pour la politique du nivellement par le bas. Je ne peux pas non plus recruter dans mon cours débutant, les deux meilleures du cours viennent déjà au cours avancé. Marianna qui veut reprendre mes cours après une pause de 2 mois, m’a demandé aujourd’hui si elle arriverait à suivre, j’étais à 2 doigts de lui dire oui (alors qu’elle n’a pas le niveau) rien que pour avoir plus d’élèves dans ce cours. J’espère que le petit stage organisé dans 2 semaines me ramènera un peu de monde, et que ce monde n’ira pas gonflé le nombre du jeudi au lieu du mardi, comme ça a été le cas avec la journée porte ouverte. Enfin, je ne me fais pas trop d’illusion non plus, comme le dit si bien Hugh, Don’t wish too hard.
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