It's a long road out of here
Dur dur de pouvoir venir écrire ce qui passe par ma tête quand on a des visiteurs et que l’on part sans cesse en vadrouille. J’ai plein d’idées, plein de choses que j’ai envie d’écrire, mais jamais le temps de taper quelques mots. Si seulement je pouvais prendre l’ordinateur dans la voiture, si je n’étais pas malade en voiture quand je ne regarde pas la route, je pourrais écrire 2-3 trucs, m’occuper.
Au lieu de ça, je "perds" quatre heures sur la route, avec souvent des paysages certes beaux mais identiques, que l’on regarde avec attention pendant une demi heure et puis qui défilent sous les yeux alors que l’on se perd dans ses pensées, que l’on établit mentalement la liste des choses qu’il reste à faire et que je ne ferai peut-être jamais. Quatre heures sur la route, dans le ronronnement du moteur qui oblige à crier si on veut se faire entendre, à attendre que ça passe en se disant qu’à côté, rien n’avance.
A lieu de ça, je "perds" des heures entières de restau en fast-food, de magasins de souvenirs en super marcher, de rues à gravir et arpenter mollement… et à côté, rien n’avance.
Il y a le culte Cendrillon, la mise en ligne des galeries photos sur le blog Zealand, 2-3 critiques de films de danse et de vidéodanses de Decouflé, l’article Me and my shadow qui attend dans l’ordinateur d’être fignolé depuis 1 semaine, les fajitas que j’ai prévu de faire depuis 10 jours, les mails à envoyer aux uns et aux autres, le papotage que j’aurai aimé faire avec toute ma famille rassemblée chez mes parents ce WE, l’autre papotage avec les parisiens reconvertis en suédois qui a du être avorté au bout de 3 secondes, la mode des antipodes part 2, mon cours de danse à préparer pour mardi et puis… la grosse pause que j’ai envie de prendre, toute seule, sans personne autour, manger mes soupes en regardant mes séries TV ou mes films de petit dej’ rien que pour me faire plaisir.
C’est sûr, au bout de tout ça il y a enfin des visites que l’on n’a pas encore eu l’occasion de faire, le plaisir pour Mufti de voir ses parents à l’autre bout du monde. Et finalement je pourrais me dire "c’est déjà ça".
Au lieu de ça, je "perds" quatre heures sur la route, avec souvent des paysages certes beaux mais identiques, que l’on regarde avec attention pendant une demi heure et puis qui défilent sous les yeux alors que l’on se perd dans ses pensées, que l’on établit mentalement la liste des choses qu’il reste à faire et que je ne ferai peut-être jamais. Quatre heures sur la route, dans le ronronnement du moteur qui oblige à crier si on veut se faire entendre, à attendre que ça passe en se disant qu’à côté, rien n’avance.
A lieu de ça, je "perds" des heures entières de restau en fast-food, de magasins de souvenirs en super marcher, de rues à gravir et arpenter mollement… et à côté, rien n’avance.
Il y a le culte Cendrillon, la mise en ligne des galeries photos sur le blog Zealand, 2-3 critiques de films de danse et de vidéodanses de Decouflé, l’article Me and my shadow qui attend dans l’ordinateur d’être fignolé depuis 1 semaine, les fajitas que j’ai prévu de faire depuis 10 jours, les mails à envoyer aux uns et aux autres, le papotage que j’aurai aimé faire avec toute ma famille rassemblée chez mes parents ce WE, l’autre papotage avec les parisiens reconvertis en suédois qui a du être avorté au bout de 3 secondes, la mode des antipodes part 2, mon cours de danse à préparer pour mardi et puis… la grosse pause que j’ai envie de prendre, toute seule, sans personne autour, manger mes soupes en regardant mes séries TV ou mes films de petit dej’ rien que pour me faire plaisir.
C’est sûr, au bout de tout ça il y a enfin des visites que l’on n’a pas encore eu l’occasion de faire, le plaisir pour Mufti de voir ses parents à l’autre bout du monde. Et finalement je pourrais me dire "c’est déjà ça".
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