You're setting me up to put me down
Part 3. Ben: un râteau coincée chez lui
On fait un bond de 7, 8 ans. Pas de râteau entre. Ca a soit marché un temps (Sylvain – encore un – et Nono), soit je me suis contentée de zyeuter (Pinoccio, Olivier, Gauthier, le prof de cata dont j’ai oublié le nom, Le Gaucher, Guilain, Le Brun, Flo, re-Pinoccio, Fransoa). Quand je vous disais qu’il y a eu plus de zyeutages que de râteaux!
Lui je l’ai rencontré sur feu le forum de Première, quand nous vivions tous en autarcie sur ses pages. Ca a commencé en 99 et fini vers avril 2000. Au départ ça a été du papotage par mail parce que nous étions fans de Sergio Leone tous les deux. Il habitait en Suisse mais venait souvent sur Paris et moi aussi au final (enfin pour Paris, pas pour la Suisse). On a fini par se rencontrer 2-3 fois sur la capitale. Il ne s'est rien passé mais ça accrochait bien, quelques sous entendus, des moments très sympas, c’était en bonne voie. Et puis pour ne pas gâcher les choses je le trouvais super méga canon, tout à fait mon style.
Les mails devenaient de plus en plus "intimes" on va dire et puis un jour il me dit: "mes parents partent en vacances pour quelques jours, si ça te dit de prendre des vacances en Suisse t'es la bienvenue". En gros j'étais invitée 2 jours seule chez lui en tête à tête.
J’avais des partiels à venir mais comme quand j'étais en 6ème je trouve toujours moyen de m'arranger si j'ai vraiment envie de quelque chose. Je suis une pro pour squizer le temps et faire 1000 trucs à la fois. J'achète mon billet de train et me voilà partie.
Je pose mes bagages dans ma chambre et on part faire une petite balade dans la campagne Suisse en s’amusant à franchir clandestinement la frontière qui passe au milieu de pré. Puis dîner super terrible en regardant Desperado (mon choix) puis Un Jour sans fin (le sien). On avait décidé de se faire découvrir des films que l’on aimait beaucoup mais que l'autre ne connaissait pas. Bref soirée romantique à mort.
Il est minuit passé, je m'endors (logique) sur la banquette sur son épaule. Il me réveille, me porte (!?!?) jusque dans ma chambre, avec un peu de mal à cause des verres de vin et surtout de mon poids. C'est le bordel, on rigole, bref... on se retrouve dans ma chambre tant bien que mal sur le pas de ma porte et là j'ai droit à un "Allez bonne nuit". et il ferme la porte...
J'ai passé une bonne partie de la journée du lendemain à réviser mes partiels, toute seule dans ma chambre. La lose totale!
Bon, vous me direz je suis fautive aussi, j’aurais pu lui sauter dessus Marine style. Et quand j'y pense je ne considère pas vraiment ça comme un râteau en fait, mais plus comme un raté parce que personne n'a osé. Mais d’un autre côté je me dis "Il me fait venir chez lui et il n’ose rien ensuite? C’est pas comme si c’était moi qui m’étais incrustée". J’avoue je suis toujours autant perplexe devant ce qu’il s’est passé…
- - - - - - - - - -
Voilà s’en est fini pour la série râteaux. A suivre une série cuisine, oui c’est moins glamour… Si vous voulez d'autres petites histoires du genre, il faudra réclamer ;)
On fait un bond de 7, 8 ans. Pas de râteau entre. Ca a soit marché un temps (Sylvain – encore un – et Nono), soit je me suis contentée de zyeuter (Pinoccio, Olivier, Gauthier, le prof de cata dont j’ai oublié le nom, Le Gaucher, Guilain, Le Brun, Flo, re-Pinoccio, Fransoa). Quand je vous disais qu’il y a eu plus de zyeutages que de râteaux!
Lui je l’ai rencontré sur feu le forum de Première, quand nous vivions tous en autarcie sur ses pages. Ca a commencé en 99 et fini vers avril 2000. Au départ ça a été du papotage par mail parce que nous étions fans de Sergio Leone tous les deux. Il habitait en Suisse mais venait souvent sur Paris et moi aussi au final (enfin pour Paris, pas pour la Suisse). On a fini par se rencontrer 2-3 fois sur la capitale. Il ne s'est rien passé mais ça accrochait bien, quelques sous entendus, des moments très sympas, c’était en bonne voie. Et puis pour ne pas gâcher les choses je le trouvais super méga canon, tout à fait mon style.
Les mails devenaient de plus en plus "intimes" on va dire et puis un jour il me dit: "mes parents partent en vacances pour quelques jours, si ça te dit de prendre des vacances en Suisse t'es la bienvenue". En gros j'étais invitée 2 jours seule chez lui en tête à tête.
J’avais des partiels à venir mais comme quand j'étais en 6ème je trouve toujours moyen de m'arranger si j'ai vraiment envie de quelque chose. Je suis une pro pour squizer le temps et faire 1000 trucs à la fois. J'achète mon billet de train et me voilà partie.
Je pose mes bagages dans ma chambre et on part faire une petite balade dans la campagne Suisse en s’amusant à franchir clandestinement la frontière qui passe au milieu de pré. Puis dîner super terrible en regardant Desperado (mon choix) puis Un Jour sans fin (le sien). On avait décidé de se faire découvrir des films que l’on aimait beaucoup mais que l'autre ne connaissait pas. Bref soirée romantique à mort.
Il est minuit passé, je m'endors (logique) sur la banquette sur son épaule. Il me réveille, me porte (!?!?) jusque dans ma chambre, avec un peu de mal à cause des verres de vin et surtout de mon poids. C'est le bordel, on rigole, bref... on se retrouve dans ma chambre tant bien que mal sur le pas de ma porte et là j'ai droit à un "Allez bonne nuit". et il ferme la porte...
J'ai passé une bonne partie de la journée du lendemain à réviser mes partiels, toute seule dans ma chambre. La lose totale!
Bon, vous me direz je suis fautive aussi, j’aurais pu lui sauter dessus Marine style. Et quand j'y pense je ne considère pas vraiment ça comme un râteau en fait, mais plus comme un raté parce que personne n'a osé. Mais d’un autre côté je me dis "Il me fait venir chez lui et il n’ose rien ensuite? C’est pas comme si c’était moi qui m’étais incrustée". J’avoue je suis toujours autant perplexe devant ce qu’il s’est passé…
- - - - - - - - - -
Voilà s’en est fini pour la série râteaux. A suivre une série cuisine, oui c’est moins glamour… Si vous voulez d'autres petites histoires du genre, il faudra réclamer ;)
9 commentaires:
et bè il est étonnant ce garçon, il t'invite dans une maison où il n'ya personne d'autre et il ne fait rien de plus, surtout que c'est lui qui te dit bonne nuit. Au moins, tu auras vu 'un jour sans fin', et même durant deux films pas de rapprochement ou de j'enroule-mon-bras-autour-de-toi. Une série cuisine, c'est moins glamour mais ça me plait aussi. Pour une autre série, je vais réfléchir :)
Attends, il t'a laissé la journée toute seule dans la chambre?
il t'a invité deux jours chez lui, pour matter deux films et te faire réviser?
il a un soucis le garçon...
Caro > Oui y'a eu pleins d'occasions, mais moi non plus j'ai rien fait donc je peux pas dire grand chose au final... La série cuisine commencera ce soir ou demain
- - - - - - - - - -
Gazelle > Non je n'ai pas passé la journée entière dans la chambre. En fait moi je me lève à 6h donc forcément quand lui se lève à 10h j'ai déjà tombé 4h de révision. On a petit-déjeuné ensemble, puis re-révision des 2 côtés cette fois, puis repas de midi, puis balade dans Genève l'aprem.
Arrêtez je veux pas qu'il passe pour un neuneu c'était pas le but!
Petit coucou en passant.
Wow il y a eu de la refonte de folie depuis la dernière fois, c'est très chouette. Je vais faire attention à ne rien casser.
(et je dis oui à l'atelier cuisine)
(et quel beau râteau suisse - es-tu retournée en Suisse depuis ?)
Carrot Cake > Yeah! Bien re-revenue! Oui y'a eu du changement pour les 1 ans du blog et je vais essayer de continuer sur ma lancée... Et t'en fais pas c'est du costaud!
Sinon non je ne suis pas retournée en Suisse depuis quand j'y penses... tiens. Il faudrait!
C'est vraiment incompréhensible, les mecs des fois ils savent pas ce qu'ils veulent (ça me fait penser à un certain Cyril pour ma part, avec qui j'ai dormi câlinement mais c'est tout, j'ai attendu la suite toute la nuit, en vain !!)
Blythe > Comme quoi hein... Il faut que tu le raconte sur le forum pour montrer à Bob que y'a pas que les filles!!!! ;)
Oui, des situations incompréhensibles comme ça, j'en ai aussi connu une ou deux.
Mon explication : tu es tombée sur un profil psychologique particulier : l'allumeur.
Le mec qui te fait le grand jeu et te laisse ensuite tomber comme une vieille chaussette...
emanu124 > Lui je crois que c'était plutôt le timide qui gamberge trop, ou le gars qui veut se la jouer gentleman et qui n'ose pas trop pousser les choses. Les allumeurs je dirais que c'était plutôt le premier Sylvain et un peu Fabrice aussi...
Laissez moi un commentaire