Red is (almost) dead
Ce matin en faisant le tour de mes favoris, je suis tombée sur ça. Une accro du corps, de sa transformation, de son image. Très glauque comme généralement dans ce genre d’obsession. Ca m’a renvoyée direct 2 ans en arrière.
Je me suis revue dans cette salle parquée de Paris 8, en train d’écouter tous ces gens fascinés par le corps, leurs différentes approches, leurs différentes façons de traiter le sujet. Il y avait cette artiste qui avait créé des corsets, rouges, en velours, pour reproduire des postures de publicités de parfum. Il y avait cette thérapeute qui nous demandait de dessiner les longueurs des différentes parties de notre corps sur un bout de papier. Il y avait cette danseuse qui nous faisait faire des impros avec du plâtre pour engoncer certaines parties de notre corps. Il y avait toutes ces choses que j’oublie et qui pourtant ont forgé mon propre regard sur le corps, le mien, celui des autres.
Et puis j’ai repensé à mon mémoire. Ce mémoire qui me tient à cœur mais que je n’arriverai jamais à finir. Pas par manque d’intérêt non, juste par flemme. La flemme de me lancer dans cette seconde partie sachant qu’au final personne ne le lira. Car il ne faut pas se leurrer, à part dans un cadre universitaire, qui peut bien être intéressé par 150 pages sur les images mises en place dans Le Dernier Chaperon Rouge de Jan Kounen et principalement les images du corps et de la danse. Qui? La réponse est évidente. Moi, c’est tout…
Pour ne pas m’avouer vaincue j’ai tout pris avec moi à l’autre bout du monde. Mes livres, mes notes. Pffffff… Il se meurt à petit feu même si certains jours j’essaye d’entretenir la flamme. Je collectionne toujours les photos chaperonnesques, je re-regarde le court métrage de temps en temps, la bio de Decouflé est là sur mon bureau à prendre la poussière, l’intro du mémoire se balade sur le net. Certains jours je me dis "allez tu t’y remets". Alors j’ouvre mon fichier word, je relis, et puis… non… la flemme, vraiment…
Sous-titré en espagnol, j’adore!
Je me suis revue dans cette salle parquée de Paris 8, en train d’écouter tous ces gens fascinés par le corps, leurs différentes approches, leurs différentes façons de traiter le sujet. Il y avait cette artiste qui avait créé des corsets, rouges, en velours, pour reproduire des postures de publicités de parfum. Il y avait cette thérapeute qui nous demandait de dessiner les longueurs des différentes parties de notre corps sur un bout de papier. Il y avait cette danseuse qui nous faisait faire des impros avec du plâtre pour engoncer certaines parties de notre corps. Il y avait toutes ces choses que j’oublie et qui pourtant ont forgé mon propre regard sur le corps, le mien, celui des autres.
Et puis j’ai repensé à mon mémoire. Ce mémoire qui me tient à cœur mais que je n’arriverai jamais à finir. Pas par manque d’intérêt non, juste par flemme. La flemme de me lancer dans cette seconde partie sachant qu’au final personne ne le lira. Car il ne faut pas se leurrer, à part dans un cadre universitaire, qui peut bien être intéressé par 150 pages sur les images mises en place dans Le Dernier Chaperon Rouge de Jan Kounen et principalement les images du corps et de la danse. Qui? La réponse est évidente. Moi, c’est tout…
Pour ne pas m’avouer vaincue j’ai tout pris avec moi à l’autre bout du monde. Mes livres, mes notes. Pffffff… Il se meurt à petit feu même si certains jours j’essaye d’entretenir la flamme. Je collectionne toujours les photos chaperonnesques, je re-regarde le court métrage de temps en temps, la bio de Decouflé est là sur mon bureau à prendre la poussière, l’intro du mémoire se balade sur le net. Certains jours je me dis "allez tu t’y remets". Alors j’ouvre mon fichier word, je relis, et puis… non… la flemme, vraiment…
Sous-titré en espagnol, j’adore!
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